Les amants de Marone (extrait)
Il lui passa par l’esprit que son cœur était pris dans ses paroles comme dans des « fibres d’aloès ». Elle avait la tête pleine de toutes ces poésies scolaires, et il lui semblait que c’était nécessaire, qu’il fallait partir dans la vie en emportant tous ces vers de Slowacki et d’Asnyk, qu’il fallait prendre le cœur des amants dans ces mains.
Jaroslaw Iwaszkiewicz