Les références en la matière ne manquent pas, et nombre de figures emblématiques (hommes et femmes) sont connues du grand public. Les énumérer serait bien trop long, et comme les images sont bien plus expressives, une présentation de l'instrument qui a permis aux tambouyés de s'exprimer sera plus indiquée.
Le "ka" en toute liberté !
Je ne vous ferais pas l'injure de vous énumérer les sept rythmes de base du gwoka, mais en quelques clichés, je suis sur que l'envie d'esquisser quelques pas sera la plus forte, car le gwoka est vif, douloureux, doux, tendre et lent ; il apaise, il bouleverse, c'est de la musique et ce qu'il rythme est vrai, c'est le pouls de la vie.
Sans quelques bons danseurs et danseuses rompus à ce genre musical, le tableau serait incomplet. Cet art majeur qu'est le gwoka permet aussi aux corps de s'exprimer et de raconter une histoire, l'histoire de la Guadeloupe.
Quand le tambouyé frappe,
on ne se proclame pas meilleur danseur, on le prouve.
L'information peut tout nous dire (et elle a toutes les réponses), aussi en voilà une qui pourrait attirer votre attention. Je vous laisse découvrir l'affiche qui vous mettra très certainement en appétit pour aller voir ce spectacle.
Tambouyés, que l'esprit du ka et des grands viennent à vous ! Frappez, frappez et frappez encore.