oh toi lumiere autant aimée
des maondes fauves
je leves les voiles vers l'ocean s'ouleve
le sflots sur la mer
lance une supplique a la
planete mauve
neptune mon dieu ne laisse en
m'ignorant amene
seule et solitaire mon chant emene
vers cytheres
entendre au son du vent des brides
des pomes d'appolinaire
mouvante sur les flots jamais
je ne pourrai plaire
a un amour fou avec un homme
les pieds sur terre
avide de la moindre poussiere
d'etoile ou de lune emue dans
les vagues je reste altere
les yeux nostalgiques eole ne ferait
pas une affaire
cheveux au vent corp hor de l'eau
je vie un enfer
mi femme mi poissson hor de l'ocean
quel sera mon avenir
ma fasse bleue lagon ne peut
a ce point subvenir
et redonner une envie un sourire
a moi sirene en delire