La beauté n'a de cesse de m'éblouir Chaque jour davantage, à en mourir, Un bienfait que sans regret je partage Avec vous mes amis, sans ambages Sans fioritures, ce suffisant à elle même Un nuage d'étoiles tel le firmament, Je te remercie maman, de m'avoir conçu. Je n'aurai de cesse , jusqu'à ma mort De profiter de ces faiblesses et ses moments Forts, jouir de la beauté qui me caresse Au plus profond de mon corps, m'interpelle De sa voix douce, maman comme la tienne Dont je me rappelle encore, un délire D'amour fou que tu avez pour nous, tes Enfants .