Betua abu,
Tatu Mukendi Sébastien ayant fait des études de droit en Ile de France et avait habité dans le temps à VILLEMOBLE en France ; est recherché par sa fille Odette Mukendi fille de Ndaya Hortense et de Mukendi Sébastien.
Pour toute information, écrire à Bajilanga (bajilanga@yahoo.fr) qui transmettra.
Anyishayi
Betuabu,
Bua bana betu badi basua bua kuikala kupeta ngumu ya BAJILANGA ba lukasa, tudi tunulomba bua kutufundila mu adresse mail wetu eu : bajilanga@yahoo.fr bua tumona mua kunuena mu carnet ka adresse wetu.
Nu tufuila lusa pa tuikala ba nupua moyi.
Anyishayi
Kasaï Oriental | 04 Juin 2008 à 11:31:27
Ce montant a été remis le mardi 03 juin 2008 par le gouvernement provincial au fond social de la République. Il représente la quote-part du gouvernement provincial pour la construction, la réhabilitation et la reconstruction de 18 écoles dans différents territoires de la province. Les travaux pourront démarrer dès le mois prochain, selon la même source, rapporte radiookapi.net
Il s’agit d’un début de l’appui au système scolaire de la province du Kasaï Oriental, comme prévu dans le budget de la province. Cette somme de plus de 160.000 dollars américains remis au fond social de République par le gouverneur de province constitue les 10 % du coût global des travaux.
Au total, le fond social va construire et réhabiliter 18 écoles dans chaque territoire de la province ; soit une école par ville. Chaque école comptera un bâtiment de 6 classes, des bureaux et des latrines. Elles seront toutes meublées. Selon le directeur du fond social de la République, la durée des travaux sera de 4 à 5 mois. Edit Biselele ajoute que la grande difficulté sera l’acheminement des matériaux de construction sur le site, surtout dans le district de Sankuru où il n’existe presque pas de routes. Il a tout de même rassuré que près de 80 % des écoles de districts de Tshilenge et de Kabinda seront prêtes peu après la rentrée scolaire prochaine. Pour sa part, le gouverneur de province affirme qu’avec l’acquisition de nouvelles écoles, on va procéder au recrutement des enseignants pour essayer d’alléger le taux de chômage dans la province. Selon le constat fait par le Secope (Service de contrôle de paie des enseignants) lors de la promotion scolaire 2008, certains coins de la province ont peu d’écoles.
Kasaï
Occidental | 27 Mai 2008 à 10:39:03
Le ministre de l’Energie a présenté lundi à Kananga ces deux projets choisis au cours de l’atelier sur l’électrification de deux Kasaï. Pour les participants à ces travaux, le communiqué final n’a pas clarifié la date du démarrage des travaux, rapporte radiookapi.net
Les fonds pour la construction de la centrale de
Katende sont négociés avec les Indiens, les Chinois et les Sud Africains. Ces
derniers disponibilisent 110 millions de dollars. La production estimée sera de
62 mégawatts.
Dans le communiqué final de l’atelier, l’option est levée
pour le sous tirage sur la ligne Inga à partir de Tshimbulu. Une option motivée
par la demande de certaines entreprises dont les besoins en électricité sont
estimés à 200 mégawatts. La réalisation de ces travaux nécessite 200 millions de
dollars, selon l’expertise d’une société suédoise, ABB.
Selon le
ministre Salomon Banamwere, les deux projets sont complémentaires, même si l’on
démarrait l’un avant l’autre. Le ministre a aussi invité la population à
s’investir dans la création des micros projets d’électrification, car, pour lui,
les deux Kasaï disposent de plus 300 mégawatts d’énergie.
Jean Martin
Munkokole député national élu du Kasaï Oriental s’est dit embarrassé. Pour lui,
l’espoir des Kasaï devrait renaître avec la date du démarrage de travaux. C’est
une précision qui, selon lui, n’a pas été donnée.
LA HAYE - L'ex-vice-président de la République démocratique du Congo (RDC), Jean-Pierre Bemba, a été arrêté samedi soir dans la banlieue de Bruxelles à la demande de la Cour pénale internationale (CPI), a indiqué la conseillère du procureur de la CPI Béatrice Le Fraper à l'AFP.
"Jean-Pierre Bemba a été arrêté vers 22H00 (locales) dans la banlieue de Bruxelles. Il doit être présenté dans les prochains jours à un juge belge. Nous nous attendons à ce que les autorités belges le transfèrent à la CPI dans les prochaines semaines", a déclaré Mme Le Fraper.
Le mandat d'arrêt contre M. Bemba contient deux charges de crimes contre l'humanité et quatre charges de crimes de guerre, qu'il aurait commis en République centrafricaine.
M. Bemba s'était réfugié au Portugal après sa défaite aux élections présidentielles d'octobre 2006 et est accusé de haute trahison en RDC depuis juin 2007.
Kasaï Oriental | 16 Mai 2008 à 12:05:31
Le bateau MB Wandeka II est depuis bientôt une semaine bloqué au village de Lubunga, à plus ou moins 80 kilomètres de Lusambo. Une de ses hélices s’est détachée et reste introuvable. Ce bateau transporte plusieurs tonnes de marchandises dont 1.500 fûts de carburants, ainsi que des produits divers, note radiookapi.net
Le bateau Wandeka II est actuellement bloqué. Il ne peut ni monter, ni descendre. Les membres de l’équipage et les passagers sont en détresse. L’hélice du bateau s’est brisée à cause de l’état des rivières Sankuru et Lubu, non balisées. Cette embarcation assure pourtant le trafic sur ces rivières.
Le représentant de la société Sage Wandeka II, Dr Valery Tshilombo, affirme que depuis la reprise du trafic, cette embarcation reste confrontée à plusieurs difficultés. Pour un voyage Kinshasa – Lusambo, le MB Wandeka II fait le trajet pendant un mois. Une équipe a été dépêchée pour réparer la panne, mais sans succès, selon le Dr Tshilombo. Il ajoute que d’autres démarches sont en cours pour que Wambeka II arrive enfin à destination au port de Ndomba, à Kabeya Kamwanga, avec sa cargaison.
De vives tensions opposent depuis mercredi les Bakua Meeba et les Bakua Bumba dans le territoire de Kamiji situé à 100Km au Sud de Mbuji Mayi. D'après les informations de l'Administrateur du territoire, la pomme de discorde serait l'implantation d'une antenne d’une société de télécommunication dans le village de Bakua Bumba constate radiookapi.net
Les habitants de Bakua Meeba revendiquent leur part dans les recettes perçues chaque mois par les Bakua Bumba sous le prétexte qu'ils ne sont pas originaires de la localité. La dispute a déjà fait une case incendiée et deux personnes grièvement blessées. L'intervention delà police n'a pas arrange les choses, près de dix miles villageois se sont réfugiés dans la foret craignant des actions musclées.
Le gouvernement congolais a mis 20 millions de dollars pour casser tous les contrats qui freinaient la Miba d'exporter sa production. La Minière de Bakwanga (Miba) retrouve donc ses anciens acheteurs.
Le prix du diamant congolais est désormais fixé àKinshasa et non à Londres comme stipulait le contrat avec Emaxon. Les 330 000 carats vendus ont été obtenus ces 9 derniers mois. La Miba, seule vendeuse libre de son diamant, renoue effectivement avec ses anciens clients.
Parmi eux, Roberts du comptoir Mabera : « C’est comme ça qu’il faut le faire. Jusque maintenant, ce n’était pas possible d’acheter ici. Moi je viens de la Belgique. Maintenant que le marché est ouvert, chacun a la chance d’acheter »
La vente a été bonne, se félicitent les responsables de la Miba.
Mais bien vendre ne suffit pas, il faut davantage produire et surtout maintenir l'outil de production. Le besoin en matériel de la société, lui, avoisine les 120 millions.
Sans outil, il semble difficile au patron de la Miba, Paul Kabongo Fuila, de dire quelle sera la production de son entreprise au courant de cette année. « Je ne sais comment va évoluer l’outil de travail que j’ai. Cet outil de travail là-bas dépendra essentiellement du financement qui va arriver. Et même quand nous aurons reçu le financement, si nous passons les commandes, ça dépendra du délai d’arrivée des équipements à la Miba », explique-t-il.
La ministre du Portefeuille déclare que le gouvernement congolais a déjà injecté dans les banques commerciales congolaises 11 millions de dollars pour renouveler l'équipement de la Miba. « Cette société se redresse et nous avons décidé d'écouter les idées de la base », ajoute Jeannine Mabunda après la vente du diamant. Le gouvernement et responsables de cette société reconnaissent le succès de cette vente aux trieurs de l'entreprise qui ont su sélectionner les bonnes pierres.
La conséquence, d'après la source, depuis lors, les hôteliers enregistrent des manque à gagner, la clientèle devenant de plus en plus rare à cause de ces tracasseries. « Le constat est amer, les policiers rançonnent les gens, ils arrêtent, tirent nos clients dans les chambres, même lorsque ceux-ci ont des compagnes de 27 ans, 32 ans, 35 ans. Donc, c'est un manque à gagner pour nous. Quand ils les prennent, les client sont obligés de négocier leur libération et après ces policiers disparaissent », s'est plaint Raphaël Tshombe, président des hôteliers du Kasaï-Oriental. « Nous ne disons pas qu'on doit supprimer l'unité de la police antiviolences sexuelles. Nous voulons que ses éléments soient associés à ceux de l'ANR, de la DGM et des représentants des hôteliers pour que nous puissions constater les flagrances là où il y en a », a-t-il suggéré.
En réaction, le commandant de l'Unité antiviolence sexuelle affirme que les cas tels que dénoncés étaient commis par des policiers égarés ne faisant pas partie de son unité. Pour couper court à ces dérapages, il a retiré momentanément les ordres de mission de la circulation.